19,20 et 21 Septembre 2017 un an déjà, le congolais se souvient des événements douloureux qui ont écourtés la vie de près de 50personnes. Suite à l’interdiction de l’appel de L’opposition à manifester dans tout le pays pour signifier au chef de l’Etat actuel Joseph Kabila son « préavis », trois mois avant l’expiration de son mandat le 19 décembre car la Constitution lui interdisait de se représenter, mais selon les opposants congolais,il ne montrait aucun signe laissant penser qu’il souhaite abandonner ses fonctions et la présidentielle censée se tenir avant la fin de 2016. Pour ces opposant la commission chargée d’organiser les élections avait déposé une requête auprès de la Cour constitutionnelle sollicitant un report de la convocation de ce scrutin.
Et que déjà en mai 2016, le président congolais avait obtenu de la Cour constitutionnelle l’autorisation de se maintenir au poste tant qu’un nouveau président n’est pas élu. Les appels à l’ordre constitutionnel ont été lancé pour sauver cette situation que les opposant considérée extrêmement dangereuse et rien n a été fait.c est ce qui justifie cette manifestation donc beaucoup des sièges de partis politiques et de la société civile ont été saccagée. Le porte parole du gouvernement, Lambert Mende, avait accusé l’UDPS, principal parti de l’opposition, d’être à l’origine de ces violences. «Il y a eu des pillages ciblés, a déclaré M. Mende, il y a des gens qui se sont préparés pour faire tout ce désordre. Ils ont trompé le gouverneur de Kinshasa sur le caractère pacifique de leur manifestation. Contacté par rdc-eveil.info Jonas Tshombela commémore ces journées en souvenant que «c’est le jour où il avait démissionné de son poste du rapporteur général du dialogue de la cite de l’Union Africaine. le jour où le bureau de la NSCC a été brûlé par des inciviques ennemis de la démocratie en Rdc. «Beaucoup des nos compatriotes ont été tués sans justice jusqu’à ce jour. Pour moi ces sont des jours des martyrs de la démocratie».a-t-il dit.
Pour le coordonnateur de la nouvelle société civile congolaise La justice du pays est restée muettes aux doléances de victimes du 19,20 et 21 septembre 2016 . «Nous sommes abandonnés à notre triste sort sans appui ni de l’Etat ni de la population pour qui nous nous battons jours et nuit» il demande a ce que les auteurs de ces actes soient jugé et condamné. Jonas tshombela estime que la population congolaise doit en ce jour commémoratif Gardé une pensée pieuse pour les martyrs de la démocratie. «Refusons toutes lois et toutes mesures injuste contraire a nos droits acquis. Seule la lutte libère » a-t-il conclut.
C’est sous une tornade de pluie à Kinshasa que se déroulé cette messe de recueille en mémoire des tous les congolais décédés le 19 septembre 2017.
« La mort n’est peu pas nous effrayer, ce qui nous a fait vaincre ce monde c’est la foi! La ou nous allons nous ne le savons pas mais c’est le seigneur Jésus Christ qui est allé préparer pour nous une place! Le model de notre lutte social, politique doit rester Jésus! Le chemin, la vie et la vérité! Dans tous ce que nous entreprenons restons sur les voies du seigneur », c’est la courte homélie du prêtre pour édifié ces membres des différentes tendances politiques membres du rassop.
Par : AMN